Extrait de l'article paru dans Konbini Arts le 22 février 2021, dans lequel est citée Isabelle ROBERT-VÉDIE :
"L’avocate des plaignant·e·s, Isabelle Robert-Védie, trouve une "faille" dans le dossier en prouvant que la sculpture est dissociable de la tombe, n’ayant pas été conçue directement pour elle. Elle souhaite ainsi annuler la décision de l’État qui l’avait inscrite sous le régime des immeubles, "sans doute parce que ce régime le dispensait d’obtenir l’accord des propriétaires et ne prévoit aucune indemnisation"."
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