La renommée mondiale des industries et du savoir-faire artisanal français, comme des talents humains associés activement recherchés à l’international, des ingénieurs aux métiers de bouche, tient à la qualité de notre éducation et à l’excellence de notre formation, comme de notre recherche.
Or, vu la baisse des dotations budgétaires des Collectivités locales, et face à un monde en perpétuelle évolution, les établissements scolaires, organismes de formation professionnelle et centres d’apprentis, mais aussi l’Enseignement supérieur – Universités, Pôles de Recherche et d’Enseignement Supérieur (PRES) et grandes Écoles -, les Instituts de recherche et les Pôles de compétitivité doivent tous relever de nouveaux défis en termes de performance… et de concurrence pour certains.
Les stratégies de gouvernance et de financement, comme l’optimisation des actifs matériels et immatériels, sont plus que jamais d’actualité pour gérer le risque de se mettre en difficulté et anticiper l’avenir, à partir notamment de rapprochements, de restructurations, de projets d’alliances ou de partenariats. Ce qui, pour certains, passe nécessairement par l’international.
Comment mener de front tous ces enjeux, sinon en ayant une approche systémique de ceux-ci ?
Des audits à la contractualisation, en passant par de multiples opérations, immobilières notamment, et la valorisation des portefeuilles de droits de propriété industrielle… le droit constitue à plus d’un égard l’outil indispensable à la pérennité de l’Éducation, de la Formation et de la Recherche.